mardi 5 novembre 2013

Introduction à la PNL

La PNL:

Programmation neuro-linguistique. Ce terme est un peu surprenant, mais est de plus en plus souvent employé. Les progrès de la médecine et notamment en matière de neurologie ont montré que le cerveau est comme un continent en phase d’exploration, ses capacités sont sans limite.

La recherche médicale apporte aujourd'hui les preuves de ce que les chercheurs et philosophes du passé avançaient.



Les précurseurs de la PNL, un mathématicien et un linguiste, Richard Brandler et John Grinder, se sont associés dans l’objectif d’exploiter les possibilités du cerveau humain. A l’inverse de la psychanalyse ils se sont intéressés à «comment résoudre les problèmes mentaux» plutôt qu’à «d’où viennent les problèmes mentaux». 
Il s’agit dés lors d’une autre voie ouvrant la porte à différents moyens innovateurs. Notamment ils se sont intéressés à l’observation de personnes qui ont connu de grandes réussites dans un secteur bien déterminé, que ce soit le sport, la résistance au stress, au niveau professionnel etc...

De leur recherche est apparue une grande découverte: quand l’individu reproduit et modélise les comportements, la structure de la pensée, l’attitude physique d’un autre individu, le premier arrive au même résultats que le second. C’est extraordinaire et cela fonctionne, il suffit de reproduire pour gagner un temps considérable dans le domaine de la réussite.

Attention aux croyances


La PNL nous apprend que l’activité des capacités mentales ne se subit pas, et qu’il est possible d’en prendre le contrôle même si ce contrôle n’est pas total. Cela permet de diriger sa vie de manière consciente, il n’y a pas d’échec.

ON PEUT TOUT TOUS CHANGER, il faut simplement changer la façon de voir les événements, les représentations internes. Voir l’événement de façon positive. Cette visualisation de l’événement en
déterminera les conséquences.
Les croyances gouvernent la vie de l’individu que ce soit dans sa vie professionnel, familiale ou sociale. Il suffit de CROIRE QU’ON EST CAPABLE DE.... Les années qui ont forgé les croyances sont considérées par l’individu lui-même comme quelque chose d’acquis.
Dès l’instant où il considère que ce ne sont que des pensées, il est capable de les modifier. Avec les nouvelles technologies médicales il est aujourd’hui possible de voir les fonctions neurologiques.

Comment changer ?

On sait dés lors que dés que l’individu intègre une nouvelle pensée, cela crée une nouvelle connexion synaptique, toute fine. Quand l’individu reproduit la pensée, l’action de cette connexion grandit et s’étend dans les neurones jusqu’à devenir très épaisse, très présente et donc très puissante. Cela se vérifie facilement en observant l’individu qui apprend à conduire.

Au début, il lui faut un certain temps pour penser à chaque chose, à chaque geste qu’il doit accomplir, quelques jours à peine après sa première conduite, les gestes deviennent plus familiers, jusqu’à se faire
sans même y penser. Il peut même alors se permettre de penser à autre chose tout en conduisant ; la conduite est devenu un AUTOMATISME.

Elle a crée dans son cerveau tout un réseau de connections puissant lui permettant de conduire d’une manière totalement naturelle.
La façon dont l’individu pense, imagine peut donc forger un comportement de retrait enclenchant automatiquement le même comportement, les connections fonctionnent alors à ses dépends. Pour revenir en arrière, il faut prendre conscience de ses représentations internes et changer celles qui sont néfastes.

Pour finir, une histoire surprenante !

Voici l’histoire vraie d’un représentant de commerce qui gagnait 5000 dollars par mois, ce résultat est très intéressant. Une restructuration dans son entreprise l’amena dans un secteur de vente très abordable ou il y avait beaucoup plus de clientèle que dans son ancien secteur.
Quelques mois après la direction s’étonne de constater que les ventes de son employé sont toujours les mêmes et que celui-ci gagne toujours 5000 dollars par mois.

L’employé tente de se remettre en cause, mais ne trouve pas de réponse à cette énigme. Pour des raisons d’organisation, le représentant est envoyé sur un secteur très difficile, où ses collègues font toujours de piètres résultats. Lui par contre, reste toujours fixés sur ses 5000 dollars par mois, ce qui intrigue beaucoup ses supérieurs.

Le jour où un spécialiste en PNL fit une conférence dans l’entreprise, il découvrit que le représentant de commerce avait dans ses convictions de gagner effectivement 5000 dollars par mois. Quelque que soit la
situation dans laquelle il se trouvait, facile ou difficile, il gagnait toujours la même somme.

Du jour où il a modéliser cette représentation mentale, un changement total de son comportement est né, et il a décidé de réaliser beaucoup plus et est parvenu à gagner 15000 dollars par mois.

La morale de l’histoire prouve parfaitement que les croyances peuvent LIBÉRER ou au contraire LIMITER l’individu.

Les 4 clés du charisme

Le charisme, c’est une de ces notions qu’il est difficile de définir avec des mots, mais qu’on reconnait à coup sûr quand on la voit. Voici la définition du charisme par le wiktionnaire :
Aura indéfinissable que possède quelqu’un  souvent liée à sa prestance, qui est capable de susciter l’adhésion, la fascination d’un grand nombre de personnes.



De cette définition, je retiendrai principalement trois choses :
1.      L’aura : c’est ce petit plus, un mélange indéfinissable mais perceptible qui fait que la personne est charismatique.
2.     Capable de susciter l’adhésion : Les gens charismatiques sont ceux dont on cherche la compagnie, et qu’on a envie de suivre.
3.     De personnes : Le charisme est une compétence sociale par définition. Vous ne pouvez pas être charismatique si vous vivez sur une île déserte.
La plupart d’entre nous connaissent des gens charismatiques dans leur entourage. Ces gens sont fascinants, mais d’où vient leur charisme ? Je me suis souvent posé la question, et il m’est apparu qu’il n’existe pas une, mais plusieurs sortes de charisme, qui font appel à des compétences et des qualités légèrement différentes.
Tordons tout de suite le cou à quelques idées reçues : le charisme n’a pas grand chose à voir avec la beauté, pas plus qu’avec la richesse (ou alors, seulement la richesse intérieure). J’ai connu des gens trés beaux qui n’avaient pas un poil de charisme. Et j’ai connu des gens relativement communs qui rayonnaient. Le fait est que le charisme confère en lui même une certaine beauté.
Ça n’a pas non plus à voir avec l’autorité. Ce n’est pas parce que vous êtes le supérieur hiérarchique de centaines de personnes que vous êtes charismatiques pour autant. Ne confondez pas être charismatique et autoritaire. On se sent bien auprès des gens charismatiques, pas auprès des gens autoritaires. Le charisme est une source de pouvoir, il confère un leadership naturel. Mais le leadership découle du charisme, et non l’inverse.
Enfin, ce n’est pas une qualité innée, on ne naît pas charismatique, on le devient (même si étymologiquement, « charisme » signifie « don », « qualité »).
C’est donc une bonne nouvelle : même si vous n’êtes pas charismatiques, vous pouvez apprendre à le devenir. Ce qu’il faut savoir, c’est que le charisme est une qualité qui découle de beaucoup d’autres. Par conséquent, il faut un gros travail de développement personnel avant de devenir charismatique.
À l’inverse, si vous êtes un adepte du développement personnel, votre charisme progressera automatiquement, à mesure que vous gagnerez en cohérence intérieure, en confiance en vous et en sérénité.
Pour vous aider dans vos recherches, voici les 4 principales qualités, à mon avis, qu’il vous faudra développer :
Développez votre force intérieure
Tous les gens charismatiques que j’ai rencontrés présentaient cette caractéristique : une personnalité forte. Cela ne signifie pas qu’ils étaient colériques, têtus, et râlaient après tout le monde. Cela signifie que leurs limites étaient bien définies, qu’ils savaient ce qu’ils voulaient et où ils allaient, et qu’on savait toujours à quoi s’attendre avec eux.
Si vous êtes charismatiques, vous avez des opinions fermes, parce que vous y avez réfléchi longuement, et êtes prêt à les défendre parce que vous êtes convaincu qu’elles en valent la peine. Cela ne signifie pas que vous ne changez jamais d’avis par principe, mais que vous n’adoptez pas une idée sans y avoir pensé avant.
Vous avez des principes forts, que vous suivez en toutes circonstances. Vous savez ce qui est juste et ce qui ne l’est pas, vous connaissez vos limites, ce que vous êtes prêt à faire ou à ne pas faire, et il est par conséquent difficile de vous faire changer d’avis. Vous savez dire non quand il le faut, sans pour autant froisser votre interlocuteur.
Comme vous ne doutez pas de vous, vous ne ressentez pas le besoin de protéger à tout prix votre petit amour propre. Par conséquent, vous n’êtes ni borné ni têtu, vous n’avez pas non plus peur de changer d’avis si vous constatez que vous êtes dans l’erreur, ni d’avouer vos petites imperfections, sans pour autant vous autodévaluer. Vous acceptez les critiques et n’avez pas peur de vous remettre en question.
Votre cohérence intérieure vous permet d’agir conformément à vos principes et à vos valeurs. Vous n’avez pas peur de vous mettre en danger pour obtenir ce que vous désirez, parce que vous avez confiance en votre faculté de retomber sur vos pattes. Vous vivez donc sereinement dans la certitude d’être dans le droit chemin. Vous agissez conformément à vos pensées, et vous acquérez petit à petit une réputation de fiabilité et de crédibilité.
Votre confiance en vous vous permet de ne pas rechercher sans cesse la validation de vos actes par autrui, mais plutôt à l’intérieur de vous. Cette force intérieure vous permet de devenir proactif et de prendre des initiatives. Quand les autres restent indécis, vous êtes capable de décider pour eux. Cette faculté de décider par vous même vous conférera unleadership naturel, et vous entraînerez facilement ceux qui sont moins sûrs d’eux.
Vous êtes de fait une personne de confiance, puisque vous ne donnez pas votre parole ni ne faites de promesses à la légère. Vous arrivez à l’heure à vos rendez vous, et tenez vos engagements. Comme vous êtes ferme dans vos opinions et dans vos décisions, les autres savent que vous êtes fiable, qu’ils peuvent s’appuyer sur vous et vous faire confiance.
L’autre conséquence, c’est qu’on écoute vos paroles, puisqu’on sait que vous ne parlez pas en l’air. Il vous est donc plus facile de faire prendre en compte votre opinion.
Améliorez votre visibilité
J’ai déjà rencontré des gens qui étaient de vrais fantômes. Bien qu’ayant passé quelques minutes en leur compagnie, j’étais à peine capable de me remémorer leur visage. Ils étaient absolument transparents, ne laissaient aucune trace dans l’esprit de ceux qu’ils croisaient, et c’est à peine si on les remarquait.
Chez de trés rares personnes, ça en devenait presque surnaturel. Ils venaient, repartaient, et personne ne les avait même remarqué. C’étaient les anti-charismatiques par excellence. J’avoue que ce type de compétences peut parfois être utile (comme en classe, lorsque le prof cherche quelqu’un pour aller au tableau), mais ce n’est pas ce qui nous intéresse ici.
Si vous voulez du charisme, il vous faudra de l’aisance relationnelle, et surtout de la présence. Vous ne pouvez pas rester dans un coin en espérant qu’on remarquera votre beauté intérieure, ça ne marchera pas. Montrez vous ! Il faut qu’on vous remarque, que vous soyez visible. Dans les soirées, il y a celui qui observe, et celui qui est observé. Devenez donc celui là.
En devenant plus visible, vous marquerez les esprits à plusieurs niveaux. Supposons que vous fassiez montre d’une grande visibilité au cours d’une soirée ou vous ne connaissez pas tout le monde. D’abord, il vous sera plus facile de nouer de nouvelles relations : les gens recherchent la compagnie de ceux qui ont une grande aisance sociale1 Ensuite, quand les gens repenseront à cette soirée, ils repenseront aussi à vous. Vous aurez donc marqué leur mémoire, c’est pas génial, ça ?!
Comment accroitre votre visibilité ? Ce n’est pas si compliqué, croyez moi. N’hésitez pas à utiliser tous les sens à votre disposition. Pour vous faire voir, soyez dynamique, déplacez vous, ayez l’air sûr de vous, et adoptez un style vestimentaire qui vous est propre. Faites des choses, soyez celui qui danse comme un Dieu, ou fait de la magie.
Pour être entendu, parlez haut, et même parlez tout court. Prenez part active à une conversation, et n’ayez pas peur de parler. Lancez des sujets, racontez des choses intéressantes, des anecdotes amusantes, valorisez vous en racontant vos exploits (mais faites le de manière subtile, pour ne pas passer pour un gros lourd). N’hésitez pas à utiliser une voix forte, pour être entendu (toujours sans en abuser, bien entendu).
Ne négligez pas les sensations kinesthésiques, touchez les gens sur le dos, l’épaule, la main, le bras, etc. Un simple contact par-ci par-là fera des miracles, notamment en matière de séduction. N’oubliez pas que les contacts corporels sont des signaux très puissants. Utilisez-les à bon escient.
Pour vous faire sentir, vous pourriez peut-être utiliser un léger parfum ? Et pour le goût…. Bon, là, je vous laisse le soin de trouver des idées :)
Quelques techniques relativement simples vous permettront d’accroitre votre visibilité de manière impressionnante. Commencez par être réellement présent. Cessez de planer, redescendez sur terre, et soyez à ce que vous faites. Concentrez vous sur la conversation en cours, focalisez vous sur le moment présent. Si vous flottez, les gens s’en apercevront, et si vous donnez l’air de ne pas vous intéresser, vous n’intéresserez pas.
Entraîner-vous à appeler les gens par leur nom, vous marquerez leur esprit et leur mémoire. C’est une méthode qui ne coûte qu’un petit effort de mémoire, et qui donne des résultats spectaculaires. De plus, retenir le nom d’une personne vous forcera à vous concentrer et à vous intéresser à elle.
Développez un style vestimentaire bien à vous. Cela ne signifie pas qu’il faille devenir une fashion victim, mais vous devez prendre conscience que votre apparence véhicule un message, et que les gens se font une opinion sur vous en 30 secondes. Vous n’y pouvez rien, alors acceptez le, et prenez le temps de soigner votre apparence.
Travaillez votre contact visuel, jusqu’à obtenir un regard franc et amical. N’ayez pas peur de regarder les gens dans les yeux (sans les fixer au point de les mettre mal à l’aise). Un regard fuyant et timoré est le meilleur moyen pour devenir invisible.
Accroitre votre visibilité aura un autre effet : vous serez soumis à une pression sociale plus forte, c’est à dire que vous deviendrez sans doute la cible de commentaires, et serez plus souvent jugés que d’autres. Restez confiant ! Si vous montrez que vous êtes à l’aise avec ça, vous prouverez que vous avez l’habitude d’être regardé, et votre charisme montera en flèche.
Intéressez vous aux autres
Ce point est extrêmement important, et trop souvent négligé. Même si vous parvenez à développer tous les autres points cités ici, si vous oubliez de vous intéresser sincèrement aux autres, vous entretiendrez peut-être l’illusion quelques minutes, mais vous finirez par être catalogué comme le boulet de service.
J’ai déjà discuté avec des gens qui étaient parfaitement à l’aise en société, avaient des choses intéressantes à raconter, mais qui ne m’ont pas posé la moindre petite question pour savoir qui j’étais, ce que je faisais, quels étaient mes projets, mes passions, etc. Bref ! Qui ne s’intéressaient pas à moi. Savez vous quel effet cela m’a fait ? Et bien, un effet foncièrement désagréable.
J’ai éprouvé un malaise, presque du ressentiment vis à vis de ces gens si égoistes. À première vue, ils paraissaient trés agréables, mais plus le temps passait, plus mon malaise grandissait. Ma seule envie était de prendre le large, et ma seule activité, dans cette relation sociale, se bornait à chercher un prétexte pour partir.
J’ai également rencontré des gens qui avaient un immense talent pour montrer à quel point ils étaient doués. En les croisant, je me disais « Wow ! Cette personne est intelligente / compétente / douée / etc. ! » Mais ces personnes m’ont surtout laissé un goût amer dans la bouche, et pas du tout l’envie de passer du temps avec eux.
En revanche, j’ai déjà croisé quelques personnes trés charismatiques, et leur talent était tout autre : avec elles, je me sentais intelligent / compétent / doué / etc. En fait, c’était incroyable de constater à quel point leur contact était agréable, parce qu’elles me renvoyaient ce qu’il y avait de meilleur en moi.
Ce n’était absolument pas de la flatterie, ni de la complaisance. Simplement, ils remarquaient mes plus grandes qualités, et mentionnaient trés subtilement à quel point elles leurs plaisaient.
Récapitulons donc. Le premier point, c’est de s’intéresser sincèrementaux autres. Sincèrement signifie que vous ne pourrez pas faire illusion, à moins d’être un trés grand acteur, et de jouer 24h/24, 7j/7. Acceptez les autres tels qu’ils sont, avec leurs qualités et leurs défauts, et sachez que tout le monde à quelque chose d’intéressant à raconter. Les gens sontintéressants. Si vous ne vous sentez pas intéressé, c’est de votre faute, alors faites un effort.
Soyez sincèrement curieux. Posez des questions sur la vie des autres, leurs passions, leurs projets, leurs rêves, leurs activités, leur métier, leur famille, leurs états d’âmes. Il est trés important de pratiquer une écoute active : soyez attentif et compatissant. Même si la conversation ne semble être qu’un échange de banalités, faites l’effort d’en retenir le contenu principal. Si quelqu’un vous explique un aspect de son métier, ce n’est pas pour que vous l’oubliiez au bout de quelques minutes. S’il vous demandez à quelqu’un s’il est marié, ou s’il a des enfants, vous devrez vous en souvenir pour lui demander des nouvelles de sa famille la prochaine fois que vous le rencontrererez
Ensuite, vous devez faire en sorte que les gens se sentent bien avec vous. Qu’ils se sentent important à votre contact. C’est une compétence trés rare, je ne l’ai rencontré que chez une poignée de personne au cours de ma vie. Elle réclame beaucoup de subtilité, et est difficile à acquérir, mais les effets sont sidérants. En fait, ce n’est ni plus ni moins qu’une manière trés spéciale de faire de compliments. Comment s’y prendre ? Ce sera le sujet d’un prochain article détaillé ;)
Soyez visionnaire
Avez vous déjà essayé de parler en public sur un sujet que vous ne maîtrisiez pas ? Les résultats ont sans doute été assez décevants, non ? Mais avez vous déjà parlé de votre plus grande passion ? De quelque chose qui était réellement important pour vous ? D’un sujet que vous maîtrisiez sur le bout des doigts, dont vous connaissiez les moindres détails ? D’un sujet qui vous emballait, qui vous exaltait, vous transportait ? Je parierai que les réactions furent meilleures.
La passion peut transformer n’importe qui en un Cyrano, dissertant sur son sujet avec une maestria telle qu’il est impossible de ne pas être emballé. Lors d’une conférence, l’orateur le plus intéressant est toujours celui qui est intéressé par ce dont il parle. Cela se sait, parce que cela se sent.
Que vous devisiez sur les timbres, votre collection d’insectes ou vos vacances au ski, du moment que votre sujet vous passionne vraiment, vous parviendrez à entraîner votre auditoire. Un orateur passionné communique une vie incroyable à son sujet, et dégage une énergie puissante qui rayonne autour de lui.
La passion est un excellent moyen de booster son charisme, parce qu’elle confère de la puissance, elle est capable de transformer une personne timide en interlocuteur exaltant. Celui qui est passionné, parce qu’il est extremement intéressé, prend toute l’apparence de quelqu’un d’extremement intéressant, et c’est pourquoi il est capable d’attirer les foules.
Mais plus que la passion, c’est la vision qui confère le plus de charisme. Pensez aux hommes politiques qui haranguent les foules en promettant un monde meilleur. Ce sont leurs visions passionnées et leur faculté à les partager qui ont donné tant de pouvoir à Gandhi et Bill Gates qui, à la base, étaient des hommes somme toute trés communs.
L’aisance relationnelle, la personalité, et même le charisme ne sont que des moyens. Mais la vision est une fin. Des moyens sans fins ne mènent nulle part, et développer son charisme sans avoir de vision, c’est un peu comme sortir la Grosse Bertha pour tuer une mite2.
Vous seriez sûrement surpris de connaître le nombre réel de personnes qui ont des projets à long terme (plus d’1 ou 2 ans). Ça ne fait pas beaucoup. Les gens sont attirés pas les visionnaires, parce qu’ils donnent un sens à leur existence. Ils leur épargne la peine de concevoir leurs propres projets, et leurs fournissent des buts dans la vie.
Si vous avez des projets, que vous êtes prêt à les partager, et savez les « vendre », si vous êtes capable de faire appel à l’imaginaire des gens pour leur prédire ce qu’ils désirent le plus, vous détiendrez sur eux un pouvoir fabuleux, et les effets pour votre charisme seront extraordinaires. Vous deviendrez un leader, quelqu’un qu’on a envie de suivre, qu’on écoute, et qu’on admire.
Le charisme, c’est un mélange de tout ça
Pour détenir du charisme, il faut un mélange de tous ces éléments. Si vous avez confiance en vous mais que vous ne vous intéressez pas aux autres, ou si vous avez une vision mais êtes incapable de communiquer, vous ne deviendrez pas charismatique.
Vous voulez devenir celui qu’on admire, qu’on écoute, qu’on respecte, et dont on recherche la compagnie ? Et bien, au boulot !

 Article d'Antoine nonyme, de palsambleu.

Vaincre la peur de parler en public

Vous commencez à paniquer à l’idée de faire un discours ? Beaucoup de gens souffrent d’une certaine forme d’anxiété, y compris les attaques de panique, lorsqu’ils doivent ‘affronter’ quelques personnes. Certaines études ont même montré que la peur la plus fréquemment citée était celle de parler en public.

Il y a de nombreuses occasions où nous ne pouvons malheureusement  pas l’éviter. Qu’il s’agisse d’une présentation d’entreprise, un événement communautaire ou tout simplement une réunion de famille, il y aura toujours des moments où vous aurez à vous lever et parler. Aiguiser ses compétences d’expression orale est donc une bonne chose à faire.
Apprendre à parler devant un groupe est très bénéfique et vaincre cette peur de parler en public pourrait signifier une promotion, un rôle plus important ou des relations plus satisfaisantes.
De manière générale, voici les cinq principales raisons pour lesquelles les gens craignent de parler en public :
  • Peur de l’échec
  • Doute de soi
  • Sentiment de vulnérabilité
  • La peur du jugement
  • Être mal préparé
Vaincre votre peur de parler devant une foule nombreuse prendra certainement du temps et nécessitera de la pratique, mais ce n’est pas impossible ! Les conseils suivants vont vous aider à vous sentir plus confiant lors de la prise de parole en public
Préparez-vous
Préparer un plan pour votre présentation. Définissez le résultat souhaité et ‘visualiser’ votre discours avec succès.
Familiarisez-vous
Essayez de tout savoir sur la zone où vous ferez votre présentation. Familiarisez-vous avec le matériel, les caractéristiques de la salle, la disposition des sièges, ou sont les toilettes… Bref, ne laissez aucune question sans réponse
Libérez votre nervosité
Vous devez être énergique et concentré sur votre présentation lorsque vous entrez dans la salle – pas sur votre nervosité. Quelques exercices de respirations profondes peuvent vous aider à vous débarrasser de vos tensions.
Insérez une touche personnelle
Imaginez avoir une conversation avec une seule personne dans l’auditoire. Cela permettra à votre présentation de devenir plus personnelle.
Établissez un contact visuel
Assurez-vous toujours de regarder le public dans les yeux pour nouer des liens plus forts avec eux. Établissez un contact visuel avec une personne à la fois – comme si vous ne parliez qu’à elle, l’espace d’un instant.
Soyez en mouvement
Évitez de rester debout derrière le podium le temps de votre présentation. Cela pourrait conduire à la sensation d’être déconnecté de votre auditoire. Marchez autour de la scène ou se tenir debout à côté du podium lors de la présentation de votre discours.
Connaissez votre auditoire
Apprenez à connaitre votre audience tout en préparant votre présentation. De cette façon, vous saurez qui va assister à votre discours et ainsi, essayer d’anticiper les éventuelles questions.
Restez positif
Gardez une attitude positive lorsqu’on vous pose des questions. Si vous ne connaissez pas la réponse, ne truquez pas vos connaissances. Il suffit de simplement dire: « Je ne sais pas » et proposer de chercher la réponse après la présentation.
Acceptez les invitations
Lorsque vous êtes invité à prendre la parole lors d’un événement ou une réunion, acceptez toujours l’offre, peu importe la nervosité que vous pourriez ressentir. Rappelez-vous: la pratique est votre meilleur allié
Trouvez un coach.
Trouvez un coach pour vous aider à renforcer vos compétences oratoires avant le grand jour. Ce coach personnel vous aidera à gagner la confiance dont vous avez besoin.
Parler en public n’a pas à être stressant. En suivant ces conseils vous pourrez surmonter votre peur, tout en bâtissant de solides compétences personnelles qui peuvent débloquer de nombreuses nouvelles possibilités.
Merci à Eudaimonia pour cet article.

lundi 4 novembre 2013

Les 10 bourdes qui flinguent un entretien d'embauche

Parmi les nombreuses attitudes qui irritent les recruteurs, voici les plus fréquentes et les plus rédhibitoires. En évitant de vous griller d’emblée, vous aurez fait la moitié du chemin.
«J’ai toujours rêvé de travailler chez Virgin.» Cette phrase, Benoît M., alors étudiant en école de commerce, aurait aimé pouvoir la rattraper au vol. Lâchée au beau milieu d’un entretien pour un stage estival chez… Sony, c’était la gaffe fatale. La spontanéité a son charme ? Oui, mais elle peut aussi coûter cher lors d’un face-à-face avec un recruteur. Pour ne pas ruiner bêtement vos chances, voici un tour d’horizon de ce qu’il ne faut surtout pas dire ou faire.

1. Se montrer arrogant
La publicité est un exercice difficile, surtout lorsqu’il s’agit de se promouvoir soi-même. Comment, en effet, vanter ses propres mérites sans passer pour un présomptueux, un mythomane ou un dominateur incapable de travailler en équipe et d’accepter la critique ? Tout est une question de dosage et de vocabulaire. Ainsi, pour vous mettre en avant  sans donner l’impression de faire du rentre-dedans, évitez d’abuser du «je» ou du «moi je». «Gardez-vous notamment d’annoncer : “J’ai augmenté le chiffre d’affaires de 10% en deux ans”, prévient Henry de Montebello, chasseur de têtes pour Russel Reynolds. Un recruteur sait bien qu’on ne réussit jamais seul ce genre d’exploit. Je recommande plutôt de dire “nous” ou “mon équipe”.»  Adaptez-vous aussi à la culture de l’entreprise. «Dans certaines PME et PMI familiales, l’humilité est une qualité particulièrement appréciée», rappelle Hugues de La Roulière, chasseur de têtes associé du cabinet nantais ABC for Value.
2. Paraître désespéré
Vous détestez qu’un vendeur vous harponne à l’entrée d’un magasin ? Dites-vous que pour votre recruteur, c’est pareil. Votre capital séduction augmentera à ses yeux si vous savez distiller habilement l’impression que vous n’êtes pas aux abois. Evitez les phrases du type : «Je suis prêt à tout pour travailler chez vous» ou «Quelle que soit votre proposition, je l’accepte.» Et prenez le temps de poser les bon nes questions avant de donner un accord de principe : votre interlocuteur y verra une preuve de votre maturité. «Votre objectif est de nouer une relation avec lui, indique Thierry Chavel, coach chez Alter & Coach. Il faut avant tout qu’il passe un bon moment avec vous.»   
3. Se plaindre d’une surcharge
de travail dans son ancien job
A la question «Pourquoi avez-vous quitté votre précédent poste?», ne répondez surtout pas «Je travaillais trop». C’est le plus sûr moyen d’éveiller la méfiance du recruteur : il vous suspectera d’être un paresseux qui compte ses heures et trouve toujours une excuse pour laisser un dossier en plan. Si vous avez réellement souffert d’une surcharge de travail, n’en parlez pas à ce stade. Vous aurez tout le loisir, une fois embauché, de raconter votre vie à votre nouveau boss. Et si vous devez absolument évoquer cet aspect de votre passé professionnel, rattrapez aussitôt le coup en ajoutant que vous avez gagné en productivité, en rapidité et en organisation.
4. Critiquer ses ex-employeurs
Même si vous êtes parti en mauvais termes avec votre ancien employeur, abstenez-vous de médire de lui. Vous passeriez pour un râleur, un contestataire ou un faiseur d’histoires. «En règle générale, il vaut toujours mieux taire un éventuel différend», conseille Henry de Montebello. Imaginez que, pour s’assurer de la véracité de vos propos, le recruteur contacte votre ex-patron : sa version des faits risquerait de ne pas être à votre avantage.  Il est possible, cependant, que votre interlocuteur, informé par d’autres canaux, vous contraigne à évoquer le sujet. Dans ce cas, restez factuel. Parlez d’un désaccord sur la stratégie (une formule classique qui a le mérite de n’accuser personne) et évitez tout dénigrement personnel ou jugement de valeur.  
5. Méconnaître l’entreprise 
pour laquelle on postule
Avant l’entretien, renseignez-vous sur le portefeuille de produits, l’évolution du chiffre d’affaires, l’historique, les effectifs, l’actualité récente ou encore la stratégie de l’entreprise visée. En ignorant, par exemple, qu’elle a récemment ouvert une filiale au Brésil, vous trahiriez un manque d’intérêt  pour
le poste. «Explorez le site Web de
la société, googlisez le nom de votre recruteur, consultez sa fiche LinkedIn ou Viadeo, préconise Alexis Amblard-Ladurantie, DRH à la banque BPE. Vous trouverez ainsi matière à alimenter la conversation.» Scannez aussi la presse spécialisée, les études de marché, la concurrence et des sites comme
Infogreffe.fr. Le jour J, arrivez avec trois questions précises sur l’entreprise dans votre besace. «Les candidats préparent tellement leurs réponses qu’ils en oublient souvent de travailler leurs questions», pointe Thierry Chavel.
6. Monopoliser la conversation
Certes, le temps est compté. Mais ne vous transformez pas en moulin à paroles : votre interlocuteur doit rester maître du tempo pour pouvoir aborder les points qui
l’intéressent en priorité. Mieux vaut l’écouter avec attention et répondre à ses questions de manière précise et concise. «J’attends des réponses courtes, d’à peu près une minute», indique Henry de Montebello. Une fois lancé sur un sujet, observez ses attitudes corporelles afin de déterminer si vous devez poursuivre ou vous interrompre. Il se penche vers vous, les yeux grands ouverts ? C’est bon signe. Il s’agite, regarde ailleurs ? N’insistez pas.
Et s’il garde le silence après votre réponse, ne vous démontez pas. Attendez quelques secondes puis demandez par exemple : «Ai-je
répondu à votre question ?» ou «Voudriez-vous plus de détails ?» N’oubliez pas non plus de le faire parler de lui. Posez-lui des questions, ramenez la conversation à son propre parcours. C’est la meilleure façon de le séduire.
7. Rater l’occasion de s’exprimer
N’oubliez pas, cependant, la raison pour laquelle vous êtes venu. Car si un recruteur n’aime pas avoir à interrompre sans cesse les bavards, il déteste encore plus devoir arracher des infos à un candidat. Vous avez donc intérêt à préparer une liste des cinq ou six points-clés que vous aimeriez qu’il retienne à votre sujet. Par exemple, que vous avez vécu cinq ans en Egypte, que vous parlez arabe, que vous maîtrisez le langage Java et que vous êtes prêt à déménager, même à l’étranger. Au besoin, notez ces points dans un carnet qui vous servira aussi à prendre des notes pendant l’entretien.
8. Parler d’argent trop vite
A priori, un premier rendez-vous n’est pas le moment adéquat pour négocier votre salaire ni pour
parler de mutuelle et de RTT. Lancer ces sujets prématurément pourrait amener votre futur employeur à s’interroger sur vos véritables aspirations. «De plus, si vous réclamez un montant supérieur au budget alloué, vous risquez d’être éliminé d’office», prévient Hugues de la Roulière. Le mieux est donc de centrer vos questions sur le poste et de parler argent le plus tard possible, quand vous vous serez rendu incontournable. Mais il arrive qu’un recruteur s’enquière de votre niveau de rémunération actuel. Vous devez donc être prêt à
répondre à cette question. Pour cela, calculez un montant moyen intégrant les bonus et les autres avantages dont vous avez bénéficié.
9. Balayer les objections
 d’un revers de la main
Si vous sentez une préoccupation poindre chez votre interlocuteur, pas question de l’ignorer. Ne faites pas comme cet énarque candidat à un poste en relation directe avec le siège d’un groupe américain.  Pour balayer les inquiétudes du DRH concernant sa méconnaissance des Etats-Unis, il avait osé répondre : «Mais je connais le pays, j’y ai passé deux semaines de vacances.» Si vous voulez convaincre votre interlocuteur, vous devez l’encourager à exprimer ses doutes et le rassurer. Sans pour autant abonder dans
son sens, montrez que vous êtes conscient de vos possibles lacunes. S’il le faut, admettez que vous aurez besoin d’un temps d’adaptation, mais insistez sur votre capacité et votre détermination à relever le défi.
10. Harceler votre interlocuteur d’appels ou d’e-mails de relance
Quelle que soit votre impression à l’issue de l’entretien, vous devez envoyer un court message par
e-mail ou courrier à votre interlocuteur afin de le remercier pour sa disponibilité. Le cas échéant, confirmez votre intérêt pour le poste, apportez une référence ou proposez d’éclaircir un point. Et n’hésitez pas à résumer en une ou deux phrases votre compréhension des enjeux pour montrer clairement votre implication et votre engagement : «J’ai bien compris que la mission comportait deux volets : trouver de nouveaux débouchés et repenser complètement l’organisation du service. Et je suis décidé à y consacrer toute mon énergie.»
En revanche, il est inutile et contreproductif de multiplier les relances. Pour avoir une idée du
calendrier, n’oubliez pas de demander à la fin de votre entretien dans quel délai vous pouvez espérer être contacté. S’il est assailli de candidatures, votre recruteur pourrait attendre plusieurs semaines avant de vous contacter pour un deuxième entretien. Pour patienter, raccrochez-vous à la devise : «Pas de nouvelles, bonnes nouvelles.» Mieux vaut un oui qui prend son temps qu’un non immédiat.
Article de Moïna Fauchier-Delavigne

Comment séduire grâce au développement personnel ?


Cet article est rédigé par Richard Louët du blog Pickup Alliance.

De nos jours, deux grandes écoles s’affrontent dans le domaine de la seduction. Il y a ceux qui ne jurent que par les méthodes, techniques et outils de séduction utilisés à travers la communauté de la séduction, appelé également Pick-Up Artist, et ceux qui nous disent arriver à séduire les filles de tous genres en ayant tout simplement travaillé sur soi. Ces derniers, adeptes du développement personnel, sont pour la plupart du temps mal vus des premiers qui pensent qu’une séduction efficace est une séduction qui passe obligatoirement par l’apprentissage de techniques utilisant les faiblesses du cerveau humain. Bien qu’ils n’aient pas tout à fait tort, je vais tenter par le biais de cet article de vous démontrer en quoi la séduction par le développement personnel est bien plus puissante et enrichissante sur le long terme que la séduction instrumentalisée.



Rappel des faits

Avant de rentrer dans le vif du sujet, j’aimerais revenir avec vous sur ces deux aspects de la séduction afin que l’on se comprenne bien. La première catégorie de personnes ne jurant que par les méthodes et techniques de séduction est venue au monde au moment de l’apparition de la communauté de la séduction, vers les années 1980. À cette époque, un dénommé Ross Jeffries ouvrit officiellement l’art de la séduction par l’application d’une méthode tirée de la PNL. Je dis bien officiellement car par la suite, son élève Eric Von Markovic, aka Mystery, diffusa une méthode tirée des enseignements de Ross Jeffries mais bien plus adaptée à un large public. Malheureusement, le plus grand nombre des nouveaux adeptes de cette méthode entreprirent tête baissée d’apprendre et de mettre en pratique les techniques de séduction qui y étaient divulguées.

Mais le cerveau humain a ses faiblesses.

Bien que des preuves de l’efficacité de ces techniques circulaient sur le net par le biais de différents supports, beaucoup d’entre eux n’arrivaient toujours pas à séduire. Le problème est qu’ils ne voyaient que la face visible de l’iceberg. Officieusement, ces méthodes et techniques étaient bien tirées de la PNL et de l’hypnose, mais une composante majeure était restée jusqu’alors aux oubliettes : le développement personnel. Si tous ces nouveaux grands séducteurs des temps modernes arrivaient si bien à séduire, c’est qu’ils avaient pendant de longues années travaillé sur :

Leur connaissance de soi
L’aboutissement de leurs objectifs

Leur transformation pour se sentir mieux dans leur peau et améliorer leurs compétences sociales
Bien que le développement personnel commence à immerger au sein de la communauté, il n’en reste pas moins une solution peu envisagée par les apprentis séducteurs car cela requiert un investissement sur le long terme et contraire à leurs désirs d’une séduction rapidement utilisable.
Pourtant, cette composante ne devrait pas être négligée.


Pourquoi utiliser le développement personnel pour séduire

Tous les nouveaux initiés de la séduction, et moi-même à mes débuts, ne pensent qu’à une seule chose : pouvoir changer simplement et rapidement. Ils voient dans les méthodes et techniques une recette miracle qui pourrait répondre à leurs attentes. Pourtant, par expérience, force est de constater qu’utiliser uniquement ces outils est néfaste à tous les niveaux. Chaque homme devrait avoir à l’esprit qu’il faut avant toute chose se séduire soi-même avant de séduire les autres. En effet, s’il advient que vous omettiez le développement personnel dans le jeu de la séduction, voilà ce qu’il arrive dans la plupart des cas :

Au commencement : lorsque vous débutez en séduction et qu’aucun travail sur vous-même n’a été effectué, vous paraissez aux yeux des autres comme une personne fausse du fait d’une inexistante congruence entre ce que vous représentez en tant que personne et les techniques que vous délivrez. Ce que vous dites ou faites semble sonner faux. Les femmes par leur intuition détectent cela automatiquement et ne se privent pas pour ne pas donner suite à votre rencontre.

Quelques années plus tard : malgré cela, certaines personnes arrivent tout de même à force d’acharnement à devenir de très bons séducteurs en ne se focalisant que sur la séduction pure et dure. Mais que s’est-il passé durant toutes ces années ? Pour répondre à cette question, imaginez que votre esprit, votre âme ou encore votre personnalité est représentée par un oignon. Le cœur de l’oignon est donc le jour de votre naissance. Chaque expérience que vous vivez en tant qu’acteur ou spectateur, chaque mot, chaque geste que vous délivrez ou que vous recevez a la faculté de créer une couche supplémentaire. Si le développement personnel est laissé de côté, chaque couche que vous avez développée se voit alors entaillée et chaque entaille est une porte ouverte sur les couches inférieures. Plus vous allez sur les couches inférieures, plus vous remontez le temps, plus vous vous retrouvez nez à nez avec la personnalité qui était la vôtre à vos débuts. Une personnalité qui ne correspond pas à ce que l’on peut voir de vous sur votre dernière couche. Dès lors, si une personne, homme ou femme, essaye de creuser pour découvrir si vous êtes réellement celui qu’elle semble distinguer à première vue, elle n’aura aucun mal à atteindre les niveaux inférieurs et vous voir sous un autre jour. Elle ne verra plus la personne de la couche supérieure mais celle de couches inférieures. Elle se sentira alors trahie. A l’inverse, si vous avez pris le temps durant toutes ces années de travailler sur vous, alors les niveaux inférieurs seront inaccessibles aux autres et ce qu’ils verront à l’extérieur sera le reflet parfait de ce qui se trouve à l’intérieur.

Maintenant que vous savez que le développement personnel est important en séduction, voyons comment il peut nous aider en ce qui concerne la confiance en soi.

Le développement personnel pour la confiance en soi

David Buss dans son livre « evolution of desir » la place en 6ème position des caractéristiques recherchées chez les femmes. La confiance en soi joue un rôle important en séduction. Pour développer sa confiance en soi, plusieurs solutions existent. En voici deux importantes à mes yeux :
Faire du sport : un corps sain dans un esprit sain. Les bénéfices psychologiques et sociaux attribués aux sports ont été démontrés lors de récentes études aux Etats Unis. Les personnes ayant pratiqué du sport se donnaient une confiance en soi plus élevé que ceux n’en ayant pas pratiqué. Pour appuyer cette étude, le sport joue un rôle sur notre confiance en soi puisqu’il permet de nous dépasser en nous fixant nos propres objectifs. Mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, que l’on atteigne ou non ces objectifs,le sport impacte notre confiance en soi de manière positive.

Fixer des micro-objectifs : pour progresser efficacement et booster votre confiance, l’utilisation de paliers en fonction des objectifs à atteindre s’avère être un excellent levier. Par exemple, si vous n’avez pas l’habitude d’aborder les femmes, cela est sûrement dû à un manque de confiance qui est lui-même dû à un manque d’expérience et donc une peur d’affronter l’inconnu. Pour remédier à ce problème, imaginons qu’un palier représente un étage et que les micro-objectifs forment les marches. Si votre objectif principal (l’étage) est de ne plus avoir peur d’approcher les femmes, vous pouvez alors définir plusieurs micro-objectifs comme :
Mettre moins de 3 secondes avant de décider d’aller aborder une femme
Aborder en utilisant le bon langage corporel
Aborder une femme et avoir une réponse en retour
Aborder et avoir une conversation qui dure au moins 3 minutes
Aborder et avoir un signe d’intérêt
En réitérant une centaine de fois ce schéma, vous réussirez à atteindre de plus en plus facilement l’étage car les micro-objectifs (les marches) seront de plus en plus facilement surmontables.
C’est donc en s’entraînant encore et encore que vous arriverez à atteindre votre objectif principal : avoir plus confiance en vous.


Le développement personnel pour le leadership

Le leadership découle directement de la confiance en soi. Un leader charismatique est une personne qui possède une telle confiance en soi, une telle force intérieure, qu’il peut décider de prendre des décisions qui changeront le cours des évènements, que ce soit pour lui ou pour les autres. C’est une des caractéristiques les plus importantes du mâle alpha que recherchent les femmes inconsciemment. Une personne sachant prendre des initiatives sans que la pression du regard des autres lui pèse attirera irrésistiblement les femmes.

Si vous n’êtes pas un leader né mais que vous souhaitez le devenir, il vous faudra forcer votre nature en sortant petit à petit de votre zone de confort et en vous affirmant de plus en plus. Vous ne deviendrez pas un meneur du jour au lendemain certes, mais consacrer chaque jour un peu de votre énergie pour le devenir à long terme ne sera que bénéfique pour vous.


Le développement personnel pour être le centre de la conversation

Je vais maintenant vous poser une question. Qu’est-ce qu’ont tous les plus grands séducteurs d’hier et d’aujourd’hui et qui fait la différence ? Réponse : la tchatche. Une personne qui possède l’art de la tchatche est une personne qui a le pouvoir de devenir le centre de la conversation. J’entends par là une personne qui a la faculté de rebondir et de mener les conversations, une personne qui a tellement de choses intéressantes à raconter que tous ceux qui l’entourent ne peuvent être que captivés par ses dires.  Pour développer cette compétence, il vous faudra développer votre lifestyle (style de vie) et vous créer une vie enrichissante. Pour ce faire, vous pourrez par exemple :

Aller plus souvent au cinéma.
Visionner des sketchs : permet de faire ressortir votre sens de l’humour.
Faire du théâtre : permet de mieux vous exprimer.
Lire des livres de tous genres : permet d’avoir énormément de sujets de conversation.
Voyager : faire le récit de ses voyages permet de créer instantanément une connexion avec une femme du fait que vous la projetiez visuellement dans votre histoire.
Sortir entre amis ou en famille et essayer de nouvelles activités.
Faire des rencontres : les échanges humains permettent le transfert de vécu. Ainsi, en faisant des rencontres avec des inconnus, vous vous rendrez vite compte qu’ils vous apprendront énormément de choses que vous ignorez. A vous par la suite d’utiliser ce savoir pour vous valoriser lors de vos prochaines rencontres.


Conclusion

Au vu de ce qui a été dit, je ne pourrais que vous conseiller d’utiliser le développement personnel à des fins de séduction. Même si cela prend du temps, la récompense qui est au bout en vaut vraiment la peine. Ainsi, en travaillant en parallèle votre développement personnel et vos techniques et méthodes de séduction, vous arriverez rapidement à atteindre un niveau de congruence qui vous permettra de séduire la plupart des filles qui vous plaisent.
Alors maintenant, au travail !